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• ESSAYER , verbe trans.

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il teste / elle teste

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il testa / elle testa

nous testâmes

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je testerai

tu testeras

il testera / elle testera

nous testerons

vous testerez

ils testeront / elles testeront

Synonymes de tester verbe transitif

essayer , expérimenter

contrôler , éprouver , mettre à l'épreuve , vérifier

Phrases avec le mot tester

Dictionnaire universel de furetière (1690), définition ancienne de tester v. n..

Parmi les langues parlées en Bretagne, on trouve, bien sûr, le breton (en Basse-Bretagne, à l’ouest), mais aussi le gallo (en Haute-Bretagne, à...

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« C’est bien de mettre un homme doux et gentil en valeur »… Karim Leklou brille dans « Le Roman de Jim »

Caroline Vié

Publié le 10/08/2024 à 15h17 • Mis à jour le 10/08/2024 à 15h17

L'essentiel

• «Le Roman de Jim » suit sur vingt-cinq ans la destinée romanesque d’un homme gentil et attachant.
• Karim Leklou est bouleversant de pudeur et délicatesse dans ce très beau film.
• Il confie que ce rôle constitue un palier dans sa carrière.

Karim Leklou est proprement sublime dans Le Roman de Jim réalisé par Arnaud et Jean-Marie Larrieu. Et cette adaptation d’un livre de Pierric Bailly est l’un des plus beaux films français découverts à Cannes cette année (avec Emilia Perez de Jacques Audiard sur lequel nous reviendrons la semaine prochaine). Cette œuvre d’une beauté fracassante parle d’engagement, de séparation et de paternité. Elle illustre à merveille une réplique culte de La Règle du jeu de Jean Renoir : « Le plus terrible dans ce monde c’est que chacun à ses raisons ».

Le joyau de ce film précieux, c’est Karim Leklou acteur incandescent bien entouré par Lætitia Dosch, Sarah Giraudeau, Bertrand Belin, Noée Abita et Andranic Manet. Après les récents Pour la France de Rachid Hami, Vincent doit mourir de Stephan Castang et Goutte d’or de Clément Cogitore, le comédien atteint une telle maturité et une telle délicatesse dans son jeu qu’il fait souvent monter les larmes aux yeux. Rencontre avec un homme gentil et fier de l’être.

Qui est Aymeric, l’homme que vous incarnez dans « Le Roman de Jim » ?

C’est un homme qui fait parfois de mauvais choix et parfois de bons, comme tout le monde. Il a failli sombrer dans la délinquance, vit de petits boulots et s’occupe du fils de sa compagne dès sa naissance. Il noue avec lui une relation privilégiée jusqu’au jour où le père biologique de l’enfant se manifeste. La séparation qui s’ensuit est déchirante mais ce genre de choses arrive régulièrement. Les rapports avec les belles-mères et beaux-pères peuvent parfois conduire à des drames dans les familles recomposées. En cas de séparations, les beaux-parents n’ont aucun droit sur les enfants même s’ils les ont élevés. Le film suit le destin romanesque des personnages sur vingt-cinq ans. Il interroge la notion de paternité et l’importance qu’on attache – ou pas – aux liens du sang. C’est l’histoire d’un homme qui n’est pas père et qui apprend à l’être.

Considérez-vous qu’Aymeric est naïf ?

Il est bon ce qui n’est pas un synonyme de naïf ou de stupide comme on a trop souvent tendance à le croire aujourd’hui. Il ne pense pas qu’à son propre intérêt mais cette façon de prendre les autres en considération n’est pas un signe de faiblesse bien qu’il en paye le prix. La gentillesse n’est pas une faiblesse. C’est bien de mettre un homme doux et gentil en valeur, quelqu’un qui se sent assez à l’aise dans sa peau pour ne pas ressentir le besoin d’écraser les autres. C’est important de ne pas montrer que des personnages sombres au cinéma. Les gentils peuvent aussi avoir un fort potentiel cinématographique.

Trouvez-vous que le film parle de masculinité telle qu’on la voit aujourd’hui ?

Il parle d’hommes, de femmes et d’enfants qui font au mieux de leurs possibilités dans des situations pas faciles. Il évoque le monde actuel, celui du travail dans lequel il n’est pas simple de survivre. Il parle aussi de l’amour entre les êtres, de tout ce qui fait la vie. Les frères Larrieu ont pris ces sujets à bras-le-corps et ce film pourrait être un mélodrame s’il n’était pas autant ancré dans le quotidien. Il ne cherche pas à tirer des larmes ce qui, à mon sens, renforce les émotions qui s’en dégagent. Il n’y a aucune esbroufe dans la mise en scène.

Comment développe-t-on un personnage sur un aussi long laps de temps ?

L’écriture des frères Larrieu a été capitale tout comme le travail sur la lumière, la coiffure et le maquillage. Le film est bâti sur les souvenirs d’Aymeric. Son apparence passée reste très imprécise pour lui ce que nous avons retranscrit à l’écran de la façon la plus subtile possible. On le voit vieillir mais très progressivement, un peu comme dans la vraie vie. Le langage corporel était important aussi. Le poids de la solitude fait courber cet homme brisé mais il va finir par se relever. Son apparence physique évolue par petites touches comme lui-même qui se laisse ballotter par la vie. Les changements par lesquels passe le personnage de Lætitia Dosch, plus radical dans ses choix, sont nettement plus marqués.

Vous ne trouvez pas qu’il est trop maltraité ?

Il en prend plein la figure mais ce que je trouve passionnant c’est qu’il n’y a pas de méchants dans le film. On évite tout manichéisme et cette complexité est aussi rare que précieuse dans le cinéma actuel. Aymeric n’est jamais plus intelligent que ce qu’il vit. Il ressent un amour viscéral pour l’enfant qu’il a vu naître, un lien du cœur qui ne s’explique pas. On comprend sa douleur mais on peut aussi admettre les réactions d’une mère essayant de faire de son mieux pour son fils. Les protagonistes se montrent parfois durs mais ils ne sont jamais malveillants. Ils conservent un bon fond ce qu’ils démontrent en ne restant jamais dans un mensonge qui pourrait leur faciliter la vie.

Pensez-vous que ce film est politique ?

Je considère Le Roman de Jim comme un tableau très juste de la France actuelle mais aussi comme une histoire universelle. Ce film est éminemment politique par sa façon de montrer la résilience d’un homme simple au cœur d’époques qu’on voit évoluer sur deux décennies. Les évènements du monde extérieur sont bien présents dans le récit avec notamment les élections et autres évènements politiques. Pourtant, le film est centré sur l’intime car ce qui va marquer la vie d’Aymeric, ce qui va modeler son existence, c’est l’amour, les relations entre les êtres. Je trouve cela désarmant de simplicité, très fort, très juste. C’est joli de faire passer le message que ce qui compte, ce sont les gens.

Cette idée influera-t-elle sur tes prochains choix de carrière ?

Je crois qu’Aymeric me marquera longtemps par la façon dont il est attentif aux autres. Il prend tout le temps des photos pour immortaliser les moments de bonheur ce qui lui permet de poser un regard bienveillant sur son entourage. Il célèbre l’instant présent avec une sagesse qui m’a touché. Sa force tranquille et ses failles profondes restent profondément ancrées en moi. Le Roman de Jim marque un palier dans ma carrière.

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Sebastian Coe, président de la fédération internationale d'athlétisme : « les organisateurs essayent des choses que les autres n'avaient jamais tentées »

Sebastian Coe, président de la fédération internationale d'athlétisme et organisateur des JO de Londres 2012, fait le point sur les Jeux de Paris et l'actualité olympique et celle de sa fédération.

Sebastian Coe est un personnage clé du monde olympique. Président de la fédération internationale du premier des sports olympiques, l'athlétisme, membre du CIO, organisateur des Jeux de Londres 2012, il est un des acteurs les plus expérimentés de ces Jeux de Paris. Dans les salons du grand hôtel parisien où il reçoit L'Équipe , il effectue un tour d'horizon de l'actualité du moment, celle des Jeux et celle de sa fédération.

« Que pensez-vous de ces Jeux de Paris ? Depuis le début des Jeux, je n'ai vu que les sessions d'athlétisme et le rugby à VII, parce que j'aime le rugby. Je ne peux donc pas faire réellement de remarques sur les autres sports. Mais j'ai vu à la télévision que les sites sont pleins, que les spectateurs semblent être passionnés, et les athlètes sont contents. Pour l'athlétisme, c'est une compétition qui marque son époque. Où que vous regardiez, concours, sauts, demi-fond, tout répond aux plus hauts standards. Les concours sont les plus beaux de tous les temps.

Ces Jeux sont-ils meilleurs que ceux de Londres ? Ils sont différents. Ce sont de beaux Jeux, mais tous les JO sont différents : Sydney, Pékin, Athènes... Je suis content de constater que ces Jeux sont ambitieux, je suis heureux de voir que les organisateurs essayent des choses que les autres n'avaient jamais tentées. Et de manière générale, ça a l'air de payer. En 2012, Londres a essayé des changements qui ont servi à Paris pour faire ce qu'il voulait. Par exemple, pour la cérémonie d'ouverture, nous avions fait un mélange de films et de direct, comme Paris l'a fait. Londres a été pionnière. Quand je regarde derrière, il y a des choses que nous n'avons pas pu faire, mais que les évolutions techniques ou réglementaires ont permises depuis. Notre cérémonie avait eu lieu dans un stade, mais j'aurais aimé plus utiliser Londres, mais les règles du jeu étaient différentes. Il nous a été très clairement indiqué que nous devions utiliser le stade.

L'athlétisme a essayé pour la première fois des repêchages sur les épreuves allant du 100 m au 1 500 m. Que pensez-vous de cette initiative ? Ce n'était pas notre idée. C'est un projet qui vient du CIO. Nous faisons toujours de notre mieux pour être les meilleurs partenaires possibles. Je voulais être ouvert à cette proposition. Certains de mes collègues, du Conseil de World Athletics, l'étaient moins. J'ai regardé ce que ça donnait. À la fin de l'année, nous ferons le bilan.

À titre personnel, je dois dire que j'aime bien certains aspects. Cela a donné l'occasion aux fans de voir certains de nos meilleurs athlètes deux fois. Pour le moment, les retours des athlètes semblent être positifs. Et je pense qu'il y a des choses que nous examinerons, et si nous continuons, nous devrons effectuer des ajustements. La grande majorité des gens à qui j'ai parlé ont aimé ça. Mais je veux entendre ce que tous les acteurs en pensent.

« Pour l'athlétisme, c'est une compétition qui marque son époque. Où que vous regardiez, concours, sauts, demi-fond, tout répond aux plus hauts standards »

Sebastian Coe

Les coureurs de demi-fond ont aimé ? Oui. Mais encore une fois, j'ai parlé juste à quelques-uns, pas à tous. Notre commission des athlètes sera également utile pour examiner cette question.

L'idée d'introduire le cross-country au programme des JO d'hiver est revenue sur le tapis, en coordination avec l'union cycliste internationale pour le cyclo-cross... Vous connaissez mon engagement pour le cross-country. J'ai toujours dit que, instinctivement, je pense que si nous étions en mesure de réintégrer le cross-country dans le programme olympique, il se situerait plus naturellement dans les Jeux d'hiver. Le cross-country est une partie importante de notre paysage. Je pense que sa présence dans les Jeux d'hiver aiderait à élever la discipline, mais cela donnerait également une variété pertinente aux Jeux d'hiver. La charte Olympique est claire : elle stipule qu'il faut, pour être retenu en tant que sport d'hiver, que les épreuves aient lieu sur de la neige ou de la glace. Mais, je ne suis pas sûr d'avoir vu beaucoup de neige naturelle ou de glace dans les compétitions ces dernières années. J'ai parlé de tout ça avec David Lappartient (président de l'Union Cycliste internationale). il y a le potentiel de modifier ou d'amender cette règle.

On a vu une certaine confusion lors des épreuves de boxe avec des athlètes dont la féminité était contestée. Que pensez-vous de cette situation ? Il me semble assez clair que si vous avez une politique, si elle est claire et nette, et bien expliquée, elle est comprise et vous ne vous retrouvez pas dans ce genre de situation. Vous ne rendrez jamais tout le monde heureux. Il y aura des gens différents qui verront cela de manière différente. Je ne suis pas opposé aux questions sociétales, culturelles et politiques. C'est le monde dans lequel nous vivons.

Mais si je suis ici, c'est parce que j'ai été élu pour faire certaines choses. L'une d'elles est clairement de préserver la catégorie féminine. Nous sommes un sport qui a une histoire prestigieuse. Et une grande partie de cette histoire, sinon la moitié, concerne les performances des athlètes féminines. Et nous devons y tenir. C'est sacro-saint. Et ce n'est pas seulement une question d'histoire, car vous ne pouvez pas avoir une génération de jeunes athlètes pensant qu'il y a un plafond biologique à leur capacité d'atteindre le plus haut niveau. Donc pour moi, ce n'est pas compliqué. Il faut être courageux, instituer des règles et accepter la fait que certaines personnes ne les aimeront pas.

Vous voulez dire que le CIO n'a pas de ligne politique en la matière ? Ce n'est pas à moi de le dire. Je n'ai jamais basé ce que nous faisons sur les actions d'autres organisations. Tout ce que je dirai, c'est que notre politique est bien définie et que, à la lumière de l'expérience et des preuves que ces politiques apportent, nous avons renforcé notre approche très claire concernant les transgenres. Mais nous devons aussi être ouverts à une meilleure compréhension dans ce domaine. C'est pourquoi nous avons un groupe de travail sur la diversité des genres qui comprend, effectivement, le groupe des athlètes transgenres. Nous ne sommes pas simplement la fédération internationale qui dit non et ferme la porte. Il y a aussi de la subtilité dans ce que nous faisons.

Pensez-vous que Thomas Bach demandera une modification de la charte olympique pour pouvoir briguer un nouveau mandat, qui lui est actuellement interdit ? Je n'en ai aucune idée. Honnêtement, personne n'en a la moindre idée. Thomas est probablement le seul à le savoir. La commission d'éthique a été claire sur le fait que cette discussion ne devait pas se tenir à Paris car ils ne voulaient pas que cela fasse de l'ombre aux Jeux. Après les JO, les gens devront clarifier leur position.

S'il y a, comme cela est prévu actuellement, des élections l'année prochaine, serez-vous candidat ? Je ne peux pas prendre cette décision pour une raison très simple : je ne peux tout simplement pas me résoudre à consacrer de l'énergie à quelque chose qui est purement spéculatif. J'ai essayé de vivre toute ma vie en agissant sur la base de choses que je comprends et pour lesquelles je peux prendre des décisions raisonnables. Or, personne ne sait ce qui est susceptible de se produire. Donc, à ce stade, je ne peux pas vous répondre. »

«On va essayer d'en faire une légende»: en bronze, Félix Lebrun peut voir grand

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Avec deux médailles de bronze aux Jeux, le prodige de 17 ans a pris une autre dimension. Son sport espère en profiter.

Il y a des champions qui nagent comme des dauphins pour remporter quatre titres olympiques. D’autres sont bâtis comme des armoires guadeloupéennes et collent des boîtes à leurs adversaires depuis près de vingt ans sur tous les tatamis du monde. Et puis il y en a qui débarquent avec leur petit look d’adolescent à lunettes innocent, une raquette à la main, et qui font chavirer les cœurs du public français de la même manière, ou presque. Aux côtés de  Léon Marchand  et de  Teddy Riner ,  Félix Lebrun  restera comme l’un des héros bleu-blanc-rouge de ces Jeux à Paris. Et pour ceux qui ont eu la chance de vivre un match à l’Arena Paris Sud, le tennis de table ne sera plus jamais ce loisir de camping qu’on pratique entre une baignade et un petit verre de rosé.

En décrochant la médaille de bronze en individuel le week-end dernier, Félix Lebrun avait confirmé, à seulement 17 ans, qu’il était bien «  né champion  », comme le formulait son entraîneur de toujours…

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JO 2024 (taekwondo): "J’ai énormément de regrets", la joie très mesurée de Cyrian Ravet après sa médaille de bronze

Sa joie est restée mesurée. Parce qu’il visait un autre métal et parce qu’il avait tout imaginé sauf ce scénario. Du haut de ses 21 ans, le Français Cyrian Ravet a décroché mercredi la médaille de bronze en taekwondo (-58 kg) sans disputer le match décisif, son adversaire italien ayant déclaré forfait sur blessure.

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Le jeune Lyonnais, sorti du repêchage, devait initialement défier Vito Dell Aquila, champion olympique à Tokyo en 2021 et champion du monde en 2022. Mais ce dernier s'est blessé lors de sa défaite en demi-finale. Un abandon synonyme de 49e médaille pour le clan français.

"Ce n’était pas mon objectif"

"Ça doit faire une heure que j'ai appris ça. Depuis le dernier combat, je suis en train de stresser parce que je ne comprends rien. On me dit qu'il est là, qu’il n’est pas là, qu'il est là, qu'il n’est pas là... moi j'ai juste envie de combattre. S’il est là je combats, s’il n’est pas là je ne combats pas. Il fallait me dire quelque chose et là je pense que c'est sûr", a-t-il réagi au micro de RMC.

Frustré de ne pas avoir pu disputer son combat pour le bronze, Cyrian Ravet avait du mal à pleinement savourer sa médaille, lui qui s’était fixé pour objectif de remporter l’or sur ces Jeux olympiques de Paris . "J’ai énormément de regrets, moi j’étais venu pour la médaille d'or. C'est compliqué, c'est compliqué. Je suis assez satisfait mais j'aurais dû plus me lâcher. C'est le rêve d'une vie, mais ce n’était pas mon objectif. Mon objectif, c’était la médaille d'or, et je ferai tout pour aller la chercher à Los Angeles. L'avenir est devant moi, et je vais essayer d'aller chercher les plus gros titres dans ce sport", a-t-il appuyé, touché par l’accueil du public au Grand Palais.

"Merci au public, c'était incroyable tous les combats", a-t-il souligné. "Je suis un peu resté dans ma bulle, je n’ai pas trop regardé autour de moi mais je suis vraiment content du public. Merci à tout le monde et à toutes les personnes qui étaient présentes." Questionné par RMC Sport, l'entraîneur de l'équipe de France de taekwondo, Rosendo Alonso, se montrait également mesuré: "Il y a eu des hauts et des bas pendant toute la compétition. On pouvait gagner l'or. Mais le plus important c'est d'avoir su s'adapter à la difficulté de la journée, et finalement on a réussi à gagner cette belle médaille."

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DIRECT. JO 2024 : objectif finale pour les Bleues du basket, opposées à la Belgique en demie

BLOG EN DIRECT

Suivez le live blog officiel des Jeux Olympiques de Paris 2024 pour obtenir toutes les informations de la compétition du 24 juillet au 11 août, y compris les détails complets de chaque épreuve, les résultats en direct et les médaillés, ainsi que les réactions à chaud des athlètes après les épreuves.

MOMENTS CLÉS

C'est fini pour aujourd'hui

Merci d'avoir suivi cette journée avec nous. On retiendra :

• Le bronze par équipes pour le tennis de table français
• La qualif' en finale des basketteuses françaises
• La finale épique et l'argent pour les Bleus de Thierry Henry

Demain, 10 août, vous pourrez suivre trois finales cruciales pour le sport collectif français (volleyball et basketball chez les hommes, handball chez les femmes), la fin des épreuves de golf mais aussi le Marathon pour tous.

Retrouvez le programme complet du 10 août .

Basketball | Les Bleues en finale

L'affiche de la finale olympique sera la même chez les femmes et les hommes. L' équipe de France féminine de basketball s'est imposée 81-75 contre la Belgique pour se qualifier en finale et rejoindre les États-Unis d'Amérique.

Revivez cette demi-finale au sommet avec Olympics.com 👇

JO de Paris 2024 | Basketball : Les Bleues dominent la Belgique et se qualifient pour la finale olympique ! | Résultats et résumé

• Tennis de Table

Tennis de table | La France remporte la médaille de bronze !

Félix Lebrun a pris le dessus sur Shinozuka Hiroto  au terme d'un cinquième match haletant (11-7, 11-7, 12-14, 13-11).

Simon Gauzy, Félix et Alexis Lebrun remportent donc la petite finale contre le Japon 3-2 et décrochent la médaille de bronze ! C'est la 55e médaille pour la délégation française.

Félix Lebrun devient à 17 ans le premier Français de l'histoire à remporter deux médailles dans les mêmes Jeux Olympiques !

JO de Paris 2024 - Tennis de table : Félix Lebrun offre à la France une médaille de bronze historique contre le Japon | Résultats

Revivez la première journée de breaking

Le breaking a fait ses débuts olympiques à Paris.

Olympics.com vous fait revivre cette journée historique 👇

JO de Paris 2024 | Breaking : une grande première réussie

• Volleyball de plage

Volleyball de plage | La paire brésilienne Silva Ramos / Duda en or

Les Brésiliennes Ana Patricia Silva Ramos / Eduarda Santos Lisboa ont décroché la médaille d'or en s'imposant 2 sets à 1 (26-24, 12-21, 15-10) contre la paire canadienne Melissa Humana-Paredes / Brandie Wilkerson .

La médaille de bronze est revenue à la paire suisse Hueberli / Brunner .

Handball | Le Danemark rejoint l'Allemagne en finale

Le Danemark s'est imposé 31-30 contre la Slovénie pour accrocher sa troisième finale olympique de rang.

La finale Danemark-Allemagne se tiendra le 11 août à 13h30.

Boxe | Imane Khelif (Algérie) titrée chez les -66 kg

L'Algérienne Imane Khelif a décroché la médaille d'or chez les -66 kg grâce à sa victoire par décision unanime (5:0) contre Yang Liu (République populaire de Chine).

Boxe | Lazizbek Mullojonov titré chez les -92 kg

Lazizbek Mullojonov (Ouzbékistan) a décroché l'or olympique par décision unanime (5:0) contre Loren Berto Alfonso Dominguez (Azerbaïdjan) chez les -92 kg.

• Athlétisme 

Athlétisme | L'or pour Diaz Fortun

Hugues-Fabrice Zango a terminé 5 e d'une finale remportée par Diaz Fortun .

Revivez la finale de triple saut avec Olympics.com 👇

JO de Paris 2024 | Athlétisme : Le Burkinabé Hugues-Fabrice Zango 5e du triple saut hommes, Diaz Fortun titré | Résultats, résumé, réactions

Breaking | b-girl ami, première championne olympique.

La Japonaise B-Girl Ami s'est imposée 3-0 contre B-Girl Nicka (16 votes à 11) pour devenir la première médaillée d'or olympique.

Revivez la finale avec Olympics.com 👇

JO de Paris 2024 | Breaking : B-Girl Ami, première championne olympique de l'histoire, B-Girl Nicka en argent

Volleyball de plage | le bronze pour hueberli/brunner (femmes).

La paire suisse Tanja Hueberli / Nina Brunner a décroché la médaille de bronze en s'imposant 2-0 (21-17, 21-15) contre la paire australienne Mariafe Artacho del Solar / Taliqua Clancy .

Taekwondo | Titre olympique pour le Tunisien Firas Katoussi

Revivez le titre olympique de Firas Kitoussi (Tunisie) chez les -80 kg 👇

JO de Paris | Taekwondo, 80kg : le Tunisien Firas Katoussi est champion olympique !

Boxe | wu yu titrée chez les -50 kg.

Wu Yu (République populaire de Chine) s'est imposée par décision partagée (4:1) contre Buse Naz Cakiroglu (Türkiye) en finale des -50 kg (femmes).

Boxe | Asadkhuja Muydinkhujaev en or chez les -71 kg

Asadkhuja Muydinkhujaev (Ouzbékistan) a battu Marco Alonso Verde (Mexique) par décision unanime (5:0) pour décrocher la médaille d'or chez les -71 kg (hommes).

Taekwondo | Viviana Marton titrée chez les -67 kg

La Hongroise Viviana Marton est devenue championne olympique chez les femmes en -67 kg à seulement 18 ans.

Pourtant tête de série n°12, elle s'est imposée 2 rounds à 0 contre la Serbe Aleksandra Perisic .

Le bronze est revenu à Kristina Teachout (USA) et Sarah Chaari (Belgique).

• Haltérophilie

Haltérophilie | Olivia Reeves bat le record olympique en -71 kg

L'Américaine Olivia Reeves a décroché l'or et battu le record olympique de l'arraché chez les -71 kg. Elle a passé 117 kg à l'arraché et 145 kg à l'épaulé-jeté pour un total de 262 kg.

Mari Leivis Sánchez (Colombie) avec 257 kg et Angie Paola Palacios (Équateur) avec 256 kg prennent respectivement l'argent et le bronze.

Lutte | Sakurai Tsugumi en or chez les -57 kg (femmes)

La Japonaise Sakurai Tsugumi a décroché la médaille d'or en lutte libre chez les -57 kg en s'imposant aux points 6-0 contre la Moldave Anastasia Nichita .

Le bronze revient à Helen Maroulis (USA) et Hong Kexin (CHN).

• Hockey sur Gazon 

Hockey | Les Pays-Bas en or (femmes)

Les Pays-Bas ont décroché le titre olympique en hockey chez les femmes en s'imposant aux tirs au but contre la République populaire de chine (1-1, 3-1 t.a.b.).

Pour rappel, l'Argentine a pris le bronze contre la Belgique.

Athlétisme | Beatrice Chebet titrée sur 10 000 m

Après l'or sur le 5000 m, la Kényane Beatrice Chebet a décroché l'or sur 10 000 m en 30 min 43 s 25.

L'Italienne Nadia Battocletti a décroché l'argent en battant le record d'Italie (30 min 43 s 35). La Néerlandaise Sifan Hassan a pris le bronze.

Lutte | Magomed Ramazanov titré chez les -86 kg

Le Bulgare Magomed Ramazanov a remporté le titre olympique en lutte libre chez les -86 kg. Il s'agit de la première médaille d'or de la Bulgarie en lutte libre depuis Atlanta 1996. Il a battu Hassan Yazdanicharati (IR Iran) 7-1.

Le bronze est revenu à l'Américain Aaron Brooks et au Grec Dauren Kurugliev .

Heptathlon | Le triplé de Nafissatou Thiam

Revivez l'heptathlon qui a vu la Belge Nafissatou Thiam remporter l'or 👇

JO de Paris 2024 - Athlétisme : Triplé pour la Belge Nafissatou Thiam en heptathlon, Vidts 3e et Lazraq-Khlass 16e | Résultats et réactions

Athlétisme | yemisi ogunyele remporte le lancer du poids (femmes).

L'Allemande Yemisi Ogunyele a remporté la médaille d'or en lancer du poids avec un lancer à 20 m sur sa dernière tentative.

Maddison-Lee Wesche prend l'argent (19,68 m) tandis que Song Jiayuan (RP Chine) prend le bronze.

Football | L'argent pour la France

L' équipe de France masculine de football s'est inclinée 5-3 en prolongation en finale contre l'Espagne au terme d'un match à rebondissements.

Les  Bleus décrochent toutefois la première médaille olympique du football français depuis 1984. Pour revivre ce match, c'est par ici 👇

JO de Paris 2024 | Football, hommes : battue par l'Espagne au terme d'une finale de folie, la France termine en argent | Résultats, résumé, réactions

Lutte | higuchi rei titré chez les -57 kg (hommes).

Le Japonais Higuchi Rei a décroché l'or en lutte libre chez les -57 kg grâce à sa victoire aux points 4-2 contre l'Américain Spencer Richard Lee .

Le bronze est revenu à Aman Sehrawat (Inde) Gulomjon Abdullaev (Ouzbékistan).

Breaking | Fin de parcours pour Syssy

B-Girl Syssy s'est inclinée 3 votes à 0 contre la Japonaise Ami en quarts de finale du breaking femmes.